Foot, cyclisme : Nos cinq compétitions préférées

Le Tour de France

Ma compétition préférée, et de loin. Tant d’aprèms passées devant la télé, à regarder ces cyclistes avaler des kilomètres après des kilomètres. Chaque été, le rituel est le même. Chaque été, le Tour de France a une place à part. C’est un véritable mythe qui a eu lieu chaque été sur nos routes, ces routes que l’on prend tant plaisir à redécouvrir chaque année., même si Jean-Paul Ollivier ou maintenant Franck Ferrand peuvent paraître légèrement ennuyants pour les férus du cyclisme. 
Car oui, ce Tour de France, c’est aussi le rassemblement de tous les cyclistes français. Quel cycliste n’a pas déjà imaginé suivre les folles envolées du maillot jaune dans ces cols mythiques que sont l’Alpe du Huez ou le Ventoux ? Qui n’a pas imaginé une belle conclusion pour les histoires de nos héros français ces dernières années, que ce soit Voeckler ou Alaphilippe l’an passé ?
Alors oui, le Tour de France est vecteur de fortes émotions, positives mais aussi négatives. Mais quand on aime, on ne compte pas. Et j’aime ce Tour de France. 


La Coupe du Monde de foot

Une Coupe du Monde, c’est inestimable. Porter le maillot du pays, être poussé par son pays dans une compétition, chaque joueur de foot rêve de ces moments. Une Coupe du Monde, c’est un mois en apnée pour les supporters. Tout commence tranquillement, mais à partir des phases finales, la pression monte, monte, monte. Mais si notre équipe nationale, celle qui représente son pays, remporte ce titre suprême, le pays explose. L’ambiance en France en 2018, avec tout ce monde dans les rues, les Champs-Elysées bondés, seule l’équipe de France de foot et la Coupe du monde, peuvent provoquer ce sentiment d’union, tout le monde derrière sa nation, ses joueurs.


Natation, JO

La natation est ma discipline préférée aux Jeux Olympiques, et le bassin est le théâtre de tant d’émotions. Déjà, lors des courses individuelles, lorsque les écarts sont au centième près, la pression est là, cachée, mais présente. Chaque représentant de la France nous donne l’espoir d’une médaille olympique, pour moi la plus belle des médailles. 
Mais lorsqu’arrive les relais, c’est un nouveau monde qui s’offre à nous. Un monde à part, où la fierté d’être Français est surmultipliée. Quand dans le relais 4x100m, historiquement dominé par les Américains, les petits Bleus dépassent la grande Amérique et s’imposent (JO 2012 à Londres), tout le monde saute de joie, tout le monde est fier de ces 4 Français qui nous ont fait rêver.


Foot, LDC

En foot, on supporte notre pays, ça c’est sûr. Mais il existe aussi l’amour pour un club, l’amour d’un maillot. Et si ce club nous fait vivre des émotions, c’est encore mieux. Pour moi, c’est le PSG. Et en Ligue des Champions, l’histoire récente du Paris Saint-Germain est remplie d’émotions fortes. Chaque match est vécu à fond, chaque victoire nous remplit de bonheur, alors que chaque défaite amène une fin de soirée triste. Après la Remontada, tout le monde avait le souffle coupé, tous les fans du PSG déprimaient, mais cette année, lors de la victoire face à Dortmund, j’ai crié, j’ai sauté de joie, je voulais chanter avec tous les supporters présents devant le Parc. 
Alors oui, cette compétition source de bonheur mais aussi de tristesse, est l’une de mes compétitions préférées. 


Tennis, Roland-Garros

Il n’y a que 4 tournois du Grand Chelem. Et l’un de ces 4 se déroule chaque été, à la Porte d’Auteuil. Pendant 2 semaines, tous les meilleurs joueurs du monde se retrouvent à Paris, sur cette terre battue si particulière mais si chère à l’Espagnol Rafael Nadal, victorieux à 12 reprises. Il est ici comme les Français, totalement poussés par le public venu en masse encourager nos Frenchies. L’ambiance qui règne sur le Philippe-Chatrier ou le Suzanne-Lenglen permet aux joueurs français de se surpasser, même jusqu’à la tombée de la nuit. Je me souviens des affrontements entre Nadal et Federer en finale, ces 2 joueurs qui dominaient de la tête et des épaules le tennis mondial (avant l’avènement d’un petit Novak…) et qui se retrouvaient en finale, pour livrer un match d’anthologie, comme seul eux savent le faire. Ces longs matchs de tennis, où l’intensité monte au fil des sets, font de moi un passionné de tennis, et de Roland-Garros l’une des mes compétitions préférées.

Paul Lalevée

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